La ruche - C - Thermohygrométrie d'une ruche en bois
Extrait des "Travaux exploratoires multidisciplinaires sur l'influence du bois des ruches sur les abeilles" par Anna Dupleix, Shu Mui, Delphine Jullien, Pascale Moity-Maizi, Pauline Milliet-Treboux, et al. lors des 7èmes Journées du GDR Sciences du Bois, Nov 2018, Cluny, France. ⟨hal-01950017⟩
Thermohygrométrie : résultats pour des ruches fermées vides.
Conclusion pour l'aspect thermique :
- A l’échelle d’une journée, même comportement thermique du bois et du polystyrène.
- Pour des variations plus rapides (<2h) de la température extérieure, une paroi en châtaigner protège mieux : sa diffusivité thermique est 10 fois plus faible que celle du polystyrène (importance de la capacité thermique).
Conclusion pour l'aspect hygrométrie :
- Avec le bois : pas d’influence significative de l’humidité relative extérieure sur l’humidité relative intérieure (sur une durée de quelques jours) ; les échanges d’eau avec la paroi sont plus importants et la variation de la teneur en vapeur d’eau plus grande qu'avec le polystyrène.
Nota :
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